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La Ville de la Rencontre, qui privilégie la fonction première de toute ville, qui est celle de faire que les gens s’y rencontrent et y fassent commerce, dans tous les sens de ce terme, allant des échanges économiques aux relations amoureuses, en passant par tout le spectre relationnel extrêmement large des relations entre les humains (et même les non-humains) qui habitent un même milieu urbain. Cette ville est incarnée au mieux par le réseau de places publiques, de rues commerçantes et intenses en autres usages liées aux sociabilités et de parvis d’attracteurs (équipements culturels, liés aux sports et loisirs et à la facilitation de la vie quotidienne (commerces de proximité, poste, banque, services santé, écoles, etc.). De manière générale, cette ville cherche à faciliter les interactions et son but est d’améliorer les espaces publics pour que les dimensions civiques priment sur la fonction purement utilitaire de la mobilité : ainsi les opportunités de séjour et de sociabilités qui permettent de faire vivre le lien social priment sur les logiques liées uniquement au transit et à la desserte linéaire de type A à B. |
La Ville du Dehors est la Ville vivante par excellence, cette ville qui privilégie notre relation avec le Vivant au sens large. Cette ville-là cherche à nous mettre en contact au près avec la nature et son but est d’identifier les meilleures opportunités qu’offre le territoire pour accueillir le corps en mouvement, à l’air libre et cheveux au vent, notamment à l’aide d’une place plus affirmée et plus systématique à accorder aux modes actifs au cœur de l’écosystème des déplacements. La valorisation des trames vertes et bleues existantes, mais aussi l’enjeu de la transformation des trames grises, et en particulier la création de corridors santé & biodiversité constituent les principaux axes de réflexion qui vont alimenter le travail collectif sur cette thématique. |
La Ville amie de toutes les générations est la ville amie des enfants, amie des familles, amie des seniors, la ville amie des femmes comme des hommes, des adolescents qui cherchent à sociabiliser et à entrer dans le monde, comme des personnes souffrant de situations qui les handicapent et les isolent. C’est la ville inclusive : la ville qui donne à chacun très concrètement les moyens les plus adaptés pour qu’elle ou lui puissent se saisir de tout le spectre des possibles que la ville offre à tous, quelles que soient leurs situations particulières, pour bien vivre ensemble au quotidien. |
La Ville du Faire et du Tiers solidaire est la ville de la friche et de la jachère, la ville des espaces en devenir qui sont en cours de transformation et qui offrent des espaces de liberté programmatique qui permettent à de nouvelles façons de vivre ensemble d’être expérimentées. Cette ville-là offre des espaces de réflexion et d’action dont il s’agit de s’emparer afin de les transformer pour vivre les déplacements du quotidien autrement. Il peut s’agir de lieux dont la vocation est directement liée à la mobilité, comme les espaces dévoués au stationnement, les parkings et les P+R, les gares et autres pôles d’échange, les aires de covoiturage, mais il peut aussi s’agir d’autres types de lieux. Des opérations comme la création d’une deuxième peau à des parcs publics ou l’apaisement des espaces liés à la vie de l’enfant en favorisant l’essor de bandes ludiques, à l’instar des démarches de type « Rues aux écoles » actuellement en cours à Paris et à Grenoble, sont des bons exemples de cette figure de ville à l’œuvre. |
La Ville de la Surprise est la ville qui laisse le plus de place à nos imaginaires pour transformer la mobilité dans sa dimension symbolique. Elle sera à travailler avec la participation active des départements de la culture, de l’économie et du tourisme, et les milieux culturels locaux, dans une logique qui intègre une approche par l’art et la culture afin de faire bouger les lignes via des interventions de transformation de l’espace public et des actions de communication et de marketing urbain qui vont agir sur la façon dont la ville et la mobilité au sein de la ville sont perçues par les habitants. C’est une typologie de ville à ne pas négliger, car son effet de levier est immense et parmi les plus efficaces pour asseoir les changements de comportement que l’on souhaite voir advenir. |
La Ville comestible et commensale. Nous consacrons un temps considérable à boire et à manger et à réaliser les achats qui vont avec ces activités. Au-delà des besoins particuliers de mobilité que se nourrir au sens large génère, c’est toute la question de la ville productive, de la logistique, qu’elle soit lourde ou de proximité, des circuits courts, du soutien aux commerces et à la vie de quartier qui est ici évoquée. La ville comestible, c’est aussi le retour de cette ville nourricière, celle des vergers et des potagers urbains, mais aussi celle qui sait faire des lieux de mobilité : parkings, arrêts de transports publics, aires de covoiturage, des lieux de ramassage, de cueillette, de distribution, de livraison... Nous mettrons ici en débats les diverses façons d’organiser la ville productive et la façon dont la mobilité peut servir d’armature à une ville dont production et consommation se réconcilient pour mieux desservir les gens au plus près de leurs désirs et leurs besoins. |
La Ville de la Nuit et du Weekend. La nuit est la dernière frontière de la mobilité urbaine, et celle où la voiture règne encore de façon quasi absolue. Le fait de revenir constamment à la voiture comme mode par défaut la nuit et le weekend, que ce soit pour aller pratiquer un sport ou un hobby, aller au restaurant, au cinéma, au théâtre, aller dîner chez des amis, et ce dès qu’il fait nuit ou dès que l’on dispose d’un moment de libre le weekend, n’aide pas les gens à changer leurs habitudes de mobilité... Pour adopter un comportement véritablement multimodal, il convient de traiter les mobilités dites « libres », associées aux motifs loisirs, achats et sociabilités - qui se déploient le plus souvent pendant les heures creuses du soir et du weekend - comme un sujet digne d’attention et nécessitant un soin particulier. Nous proposons donc de consacrer un atelier thématique et même toute une partie du programme des assises de la mobilité autour d’explorations contrastées de la grande diversité d’expériences et besoins exprimés par la population en lien avec cette thématique « mobilité et temporalités ». |
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